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Normes mondiales de l’ICM pour la formation des sages-femmes  

Formation
ICM
Dernière édition 12 janvier 2024 17:21 CET

Les Normes de l’ICM pour la formation des sages-femmes (2021) sont un pilier essentiel sur lequel s’appuie l’ICM pour renforcer la pratique sage-femme dans le monde en préconisant des programmes de formation de qualité qui préparent les sages-femmes qui répondent à la définition d’une sage-femme de l’ICM. Les Normes de l’ICM pour la formation des sages-femmes se basent sur les documents essentiels et les énoncés de position fondateurs de l’ICM (voir Annexe 1). Il est important de noter que les Normes spécifient que les Compétences essentielles pour la pratique du métier de sage-femme (2019) sont la base du programme d’études des sages-femmes.

Les objectifs des Normes de l’ICM pour la formation des sages-femmes (2021) sont les suivants :

  • établir des critères de référence pour les programmes qui préparent les étudiants à exercer le métier de sage-femme ;
  • promouvoir des méthodes d’enseignement et d’apprentissage de qualité ;
  • veiller à ce que les Compétences essentielles pour la pratique du métier de sage-femme (2019) de l’ICM soient intégrées au programme d’études ;
  • fournir un cadre permettant de concevoir, de mettre en œuvre et d’évaluer la qualité d’un programme de formation des sages-femmes ;
  • aider les programmes à s’investir en permanence dans l’amélioration continue de la qualité ;
  • permettre la communication systématique des indicateurs de qualité au public, aux sages-femmes, au système de santé et à l’établissement d’enseignement ; et
  • contribuer à l’amélioration systématique des programmes de formation des sages-femmes dans le monde.

De plus, les Normes mondiales de l’ICM pour la formation des sages-femmes (2021) peuvent être utilisées pour :

  • promouvoir une compréhension et une approche communes de la formation des sages-femmes ; guider le développement de nouveaux programmes ou la restructuration de programmes existants là où des sages-femmes sont nécessaires ;
  • aider d’autres organismes d’accréditation de la pratique sage-femme, les ministères de la Santé/de l’Éducation et les établissements d’enseignement des pays/États à élaborer ou à réviser leurs propres normes ; et
  • répondre aux critères du Programme d’accréditation de la formation des sages-femmes (MEAP).